J'aime : l'acces aux transport en commun

À améliorer : le traffic de drogue

J'aime : En 2017, absolument RIEN !
Pire que l'année passée et mieux que celle à venir... Et ainsi de suite.

À améliorer : Ville qui sombre toujours plus dans l'insécurité (vols, dégradations...), la violence, la saleté et la vétusté dans toutes les rues, Les commerces ne ressemblent plus à rien de ce que c'était. Des boui-boui mal fréquentés, par de multiples communautés qui s'affrontent régulièrement tout comme l'ensemble près de la gare RER. L
Ce qui était la plus belle avenue d'un ex joli village au printemps (avenue du Général de Gaulle) par ses cerisiers à fleurs roses a été décapitée de ses beaux arbres pour être remplacée par des rustines de bitume (sans consultation préalable des citoyens par maire Pupponi).
En contrepartie, autour de l'église chaldéenne (turque), des aménagement luxueux et "clinquants" ont été fait pour s'assurer le soutien des communautés désormais largement majoritaires.
Constructions anarchiques, désordre architecturaux, mauvais maintient en l'état de ce qui est existant.
Centre commercial My Place où de nombreuses boutiques ferment les unes derrière les autres.
Bétonnage excessif.
Fuite des habitants "historiques".

J'aime : Magasin et transport

À améliorer : Sale sans sécurité

J'aime : Une ville cosmopolite, bien desservie par les transports en commun. Plusieurs secteurs agréables et des espaces verts. Bonne entente entre les différentes communautés.

À améliorer : Incivilités banalisées, pas de verbalisation de stationnement gênant, possibilité de rester garé sur un passage piéton ou un trottoir toute le journée (voir davantage) sans être inquiété. Police municipale passive, qui sera bientôt armée mais qui devrait déjà se concentrer sur ses mission basiques d'ordre public. Pas assez de services publics de proximité notamment sociaux ou culturels. Des mariages le samedi et le dimanche (parfois même en semaine) avec leurs flots de klaxon ininterrompus en quartier résidentiel (à proximité de l'hôtel de ville et de l'église). Beaucoup de communautarisme même si les impacts négatifs restent limités. Peu de travail localement.